Une nouvelle revue dédiée à la tradition, au symbolisme, à l’art sacré et à la vie intérieure
Présentation de l’éditeur
« Le symbolisme du cœur occupe une place prépondérante dans toutes les traditions. Revisiter sa richesse et sa profondeur ne nous semble pas vain, d’autant que les contributions n’ont pas tardé à venir des femmes et des hommes de cœur, réunis par et dans le cœur. » (extrait de l’avant-propos)
Au sommaire de ce numéro
- Avant-propos
- Mgr Jean-Pierre Ellul, Sœur Anne-Madeleine REMUZAT
- Dominique Dendraël, La création du musée du Hiéron sous les auspices du Sacré-Cœur
- Gauthier Pierozak, Les « préfigurations » du Sacré-Cœur
- Philippe Subrini, Petit parcours sur la représentation du cœur dans l’iconographie
- Jacqueline Kelen, La dévotion au Cœur divin dans la mystique chrétienne
- Colette Poggi, L’expérience du Cœur dans le Shivaïsme du Cachemire – Vibration originelle et résonance
- Muhammad Vâlsan, Le Temple et son cœur
- Georges Lahy, Le cœur épique
- Serge Caillet, La porte du cœur dans la tradition martiniste
- Jean-Pierre Laurant, Cœur et centre chez René Guénon, ou de l’usage des symboles
- René Guénon, Le Cœur rayonnant et le Coeur enflammé
- Louis Charbonneau-Lassay, L’image du Cœur-Sacré et les Armoiries des Souverains
- Eric Unger, L’architecture des cœurs
Titre : Liber, n° 5 Le Cœur Glorieux
Editeur : Alcor Editions
Parution : novembre 2020
Format : 16 X 22
ISSN : 2681-8817
Nb. pages : 198 p.
A propos de la revue Liber
« Pourquoi fonder une nouvelle revue dédiée à la Tradition, à la métaphysique, au symbolisme, à l’Art sacré, à la vie intérieure, alors que le matérialisme, l’individualisme et le nihilisme semblent triomphants ? Parce que nous nous devons par fidélité et par nécessité de témoigner de l’inaltérabilité de la Connaissance Sacrée.
La plupart d’entre nous se sont nourris des Études Traditionnelles, de Connaissance des Religions, de Vers la Tradition, des Cahiers du Sud, de Hermès, des Cahiers de l’Université saint Jean de Jérusalem, des Cahiers du Groupe d’Études Spirituelles Comparées, et de bien d’autres publications plus confidentielles. Que reste-t-il de toutes ces initiatives portées par de grands chercheurs et témoins ? Un grand vide.
Mais la soif de Connaissance est toujours intacte et les sources discrètes non taries. De nouvelles générations, conscientes de l’inanité d’un néo-spiritualisme, de la confusion qui règne entre psychique et spirituel, entre développement personnel ou bien être et délivrance ou paix profonde, se questionnent et partent en quête de ce qui peut rester çà ou là comme voie d’accès à une authentique et redoutable réalisation spirituelle.
Ainsi, avec cette revue, nous lançons aussi un appel aux personnes de bonnes intentions, aux veilleurs, aux guetteurs, aux gardiens, aux ravis, aux bienheureux, aux témoins, aux artisans de paix, qui permettront à Liber de croître qualitativement. René Guénon évoquait dans « Le Règne de la quantité et les sgnes des temps », « les fissures de la grande muraille ». Au cœur de la dissolution, il importe encore et toujours, de « rassembler ce qui est épars », de « faire sortir l’ordre du chaos ».
Dès lors, et en hommage à notre ami Bernard Avella, qui fut un libraire fin connaisseur de ces sujets, nous avons souhaité créer Liber, afin que de plutôt disperser l’héritage, nous rassemblions les héritiers. »
Nous accueillerons bien volontiers pour les prochains numéros les contributions de ceux qui se sentent concernés par notre projet. Nous publierons deux numéros par an (novembre – mai.) Bonne lecture. »